L'exercice est inédit, plusieurs décennies que l'Etat haïtien, l'édilité de Port-au-Prince, le secteur privé ne s'étaient pas aventurés dans la réalisation d'un carnaval des fleurs. Belle fête populaire au cœur de l'été, les deuxièmes bacchanales de l'année se voulaient différentes et fleuries.
Elles risquent d'être ternes et inodores. La cause : pas d'argent.
Le budget de soixante-cinq millions d