« Ce ralentissement est marqué, entre autres, par l’absence de l’aide externe en raison de la crise politique et la baisse du fonds PetroCaribe à cause de la plongée des prix du pétrole sur le marché international. Ensuite, suivant l’accord signé avec le Venezuela, plus le prix du pétrole est à la hausse, plus le pourcentage du crédit augmente. Mais c’est l’inverse qui s’est produit, autant dire, le pourcentage crédit diminue. Dans ce cas, le montant dont dispose l’État pour faire des investissements publics, à travers le pays, diminue », a ex