(Dédié à Jean-Claude Boyer, inconditionnel du chanteur)
Roland Léonard
Comment peut-on passer d’un extrême à l’autre ? Comment peut-on écrire des chansons satiriques et désabusées, véritables pamphlets réalistes contre les femmes, leur vénalité, la duplicité amoureuse – dans de véritables crises de misogynie – et en même temps créer des chefs-d’œuvre à la gloire de la passion sentimentale ?
Pour cela, il faut s’appeler Jacques Brel (1929-1978), habile dans l’épigramme comme la romance. « Je ne sais pas », « Ne me quitte pas », « La Fa