Un texte/Une chanson/Saint-Valentin

Jacques Brel : «La chanson des vieux amants »

(Dédié à Jean-Claude Boyer, inconditionnel du chanteur) Roland Léonard Comment peut-on passer d’un extrême à l’autre ? Comment peut-on écrire des chansons satiriques et désabusées, véritables pamphlets réalistes contre les femmes, leur vénalité, la duplicité amoureuse – dans de véritables crises de misogynie – et en même temps créer des chefs-d’œuvre à la gloire de la passion sentimentale ? Pour cela, il faut s’appeler Jacques Brel (1929-1978), habile dans l’épigramme comme la romance.

Roland Léonard
Par Roland Léonard
19 févr. 2016 | Lecture : 4 min.
(Dédié à Jean-Claude Boyer, inconditionnel du chanteur) Roland Léonard Comment peut-on passer d’un extrême à l’autre ? Comment peut-on écrire des chansons satiriques et désabusées, véritables pamphlets réalistes contre les femmes, leur vénalité, la duplicité amoureuse – dans de véritables crises de misogynie – et en même temps créer des chefs-d’œuvre à la gloire de la passion sentimentale ? Pour cela, il faut s’appeler Jacques Brel (1929-1978), habile dans l’épigramme comme la romance. « Je ne sais pas », « Ne me quitte pas », « La Fa
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