Elections législatives/Violence

14 candidats aux législatives risquent la prison…

Outre leur mise à l'écart de la course électorale, 13 candidats à la députation et un candidat au Sénat risquent la prison selon les prescrits des articles du décret électoral évoqués par le CEP pour les écarter des législatives. La plupart des prétendants à la 50e législature sanctionnés pour leur implication dans des actes de violence le jour du scrutin rejettent la décision de l’institution électorale et clament leur innocence.

Robenson Geffrard
Par Robenson Geffrard
18 août 2015 | Lecture : 6 min.
C’est la première grande décision du CEP depuis le scrutin du 9 août. Pierre-Louis Opont sort ses griffes et laisse croire que d’autres candidats fauteurs de troubles sont dans sa ligne de mire. Dans un communiqué rendu public mardi matin qu’il a lui-même signé, le président du Conseil électoral provisoire informe la population en général, les partis, groupements politiques et les candidats en particulier « que suite aux actes de violence perpétrés le jour du scrutin du 9 août en cours dans plusieurs circonscriptions électorales, sur le rapport
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