Margareth Papillon/«Crime royal»

Maintenir le suspense jusqu’au bout de la nouvelle

A mon sens, la nouvelle comme genre présente des ressemblances, dans la conception, avec la «lodyans».

Jean-Claude Boyer
Mercredi 2 avril 2014
Par Jean-Claude Boyer Mercredi 2 avril 2014
21 mai 2014 | Lecture : 2 min.
A mon sens, la nouvelle comme genre présente des ressemblances, dans la conception, avec la «lodyans». Effectivement, qu’on ne s’y trompe pas, la «lodyans» n’est pas l’audience qu’un dignitaire accorde à une personne qui la sollicite, non plus la prise de siège d’un tribunal. Quand un locuteur annonce qu’il vous a réservé une «lodyans», sachez que vous allez avoir droit à une narration bien pimentée, piquante et assaisonnée. Comme dans une nouvelle. Margareth Papillon, romancière et feuilletoniste à succès, a aussi la maîtrise du court récit.
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