L’arrêt-ordonnance de la cour d’appel de Port-au-Prince rendu le 20 février 2014 a suscité beaucoup de commentaires tant de la part des parties au procès, des plaignants que de celle des observateurs.
Des avocats de la partie civile sont montés au créneau pour défendre leurs clients. Ces derniers estiment que les juges de la 3e composition de la cour d’appel ont réalisé un travail professionnel dans le dossier de Jean-Claude Duvalier. D’autres se disent satisfaits de l’acte de courage de la cour en cassant l’ordonnance du juge Carvès Jean qui