« Au niveau de Tête-de-l’Eau la situation n’a pas évolué, sinon elle a empiré. Les squattérisations ont des impacts sur la disponibilité de l’eau. Les constructions anarchiques mettent en danger l’ensemble des infrastructures de la DINEPA. Les fortes averses du dernier week-end du mois d'août, ont détruit les vannes de nos regards. On est obligé de mobiliser des ressources pour monitorer les réservoirs pour s’assurer de la qualité de l'eau dans la zone », a expliqué Guito Edouard.
La crue de Galèt-Planta et de Galèt-Two