Les infrastructures de la DINEPA paient le prix de la dégradation de l’environnement

L’exode rural, les constructions anarchiques dans les flancs des montagnes, continuent de diminuer le débit de certaines sources et tarissement d’autres, ce qui complique de jour en jour le travail de la Direction nationale d'eau potable et de l'assainissement (DINEPA). Intervenant sur Magik 9 le mardi 20 septembre 2022,  Guito Edouard, directeur général de l’institution, a pressé les autorités à agir pour stopper la dégradation de l'environnement.

Jean Junior R. CELESTIN  celestinjunior30@gmail.com
Par Jean Junior R. CELESTIN celestinjunior30@gmail.com
21 sept. 2022 | Lecture : 3 min.

« Au niveau de Tête-de-l’Eau la situation n’a pas évolué, sinon elle a empiré. Les squattérisations ont des impacts sur la disponibilité de l’eau. Les constructions anarchiques mettent en danger l’ensemble des infrastructures de la DINEPA. Les fortes averses du dernier week-end du mois d'août, ont détruit les vannes de nos regards. On est obligé de mobiliser des ressources pour monitorer les réservoirs pour s’assurer de la qualité de l'eau dans la zone », a expliqué Guito Edouard.

La crue de Galèt-Planta et de Galèt-Two

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