Bruno Lemarquis : « Il faut s’attaquer plus aux causes structurelles qu’aux symptômes des problèmes en Haïti »

Avant de mettre un terme à sa quatrième mission en Haïti, Bruno Lemarquis, coordonnateur résident du système des Nations unies, a insisté sur la nécessité pour les acteurs nationaux et internationaux de s’attaquer beaucoup plus aux causes structurelles qu’aux symptômes des problèmes.

Roberson Alphonse
Par Roberson Alphonse
25 févr. 2022 | Lecture : 5 min.

« Mwen pra l nan yon ti peyi. Se Congo, li fè 83 fwa Ayiti », plaisante en créole, Bruno Lemarquis, en visite au journal Le Nouvelliste, en milieu de semaine, peu avant de boucler sa quatrième mission en Haïti où il a commencé à travailler tout jeune, à 23 ans. Le coordonnateur résident du système des Nations unies, après avoir confié son «  pincement », son chagrin de partir et son désir de revenir une cinquième fois, a soutenu qu’il faut, en Haïti, « s’attaquer beaucoup plus aux problèmes fondament

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.