Début janvier 2022, je me livrais à une interrogation récurrente « Le moi doit-il toujours l’emporter sur le collectif ? » quand survint à Melbourne le cas Djokovic. J’y trouvai dans l’attitude téméraire du N0 1 du tennis mondial l’illustration parfaite de cette quête que je poursuis depuis longtemps. Pourquoi, dans le monde que nous vivons, l’individu ne peut pas faire le sacrifice de son moi pour privilégier l’intérêt collectif ?
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