« Sur 102 gangs existants, le gouvernement en a démantelé 64 et le travail de rétablissement de la sécurité a été accéléré. Le nombre de kidnapping a considérablement baissé et la population apporte son support au travail de la police nationale. La plupart de ces gangs sont supportés par des oligarques corrompus », a indiqué Jovenel Moïse lundi au Conseil de sécurité des Nations unies.