La Noël du prévaricateur inculte qui s’exprime, entraîné par ses lobbyistes, dans un journal raciste et d’extrême-droite. Chez lui, nul ne l’écoute. Alors il cherche asile chez les casseurs de nègres, d’immigrés, de femmes libres. Il ne lui reste qu’à se grimer et déverser sa bile dans un meeting du KKK.
La Noël des subalternes qui se battent, J contre J, pour avoir l’oreille du chef et savoir qui mérite la palme du premier prix de servilité.
Il y a la Noël contrariée des marchands qui ne feront pas forcément de bonnes