En 1918, il y eut la fameuse “grippe espagnole“, qui dura 1 an, tuant 40 millions de personnes dans le monde. Mais journalistes, poètes et écrivains ne cessaient d’occuper l’esprit de leurs lecteurs et lectrices. Guillaume Apollinaire était dans sa plus grande forme, et les Dîners de chez Paillard, Prunier et Café de la Paix, à Paris, n’avaient pas suspendu leur cours. Dans notre quarantaine volontaire ou forcée, pensons à Montesquieu qui écrivait ː ''Je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé''. Nous n’en