Lieux communs en art et en littérature

Avant d’entrer dans le vif du sujet, reconnaissons que le monde entier est paniqué par la pandémie du Covid-19. Nous avons donc besoin d’occuper notre esprit de pensées positives, par la lecture et toutes sortes de créativités, qui sont autant de nourritures spirituelles nécessaires au bien-être personnel et collectif.

Mérès Weche
Par Mérès Weche
23 mars 2020 | Lecture : 2 min.

En 1918, il y eut la fameuse “grippe espagnole“, qui dura 1 an, tuant 40 millions de personnes dans le monde. Mais journalistes, poètes et écrivains ne cessaient d’occuper l’esprit de leurs lecteurs et lectrices. Guillaume Apollinaire était dans sa plus grande forme, et les Dîners de chez Paillard, Prunier et Café de la Paix, à Paris, n’avaient pas suspendu leur cours. Dans notre quarantaine volontaire ou forcée, pensons à Montesquieu qui écrivait ː ''Je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé''. Nous n’en

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