Le carnaval 2020, une autre victime de la mainmise de la politique sur le secteur culturel 

A part la ville de Jacmel dont les activités carnavalesques ont respecté leur calendrier et brillé de leur éclat habituel, le carnaval national qui devrait se dérouler à Port-au-Prince a carrément été annulé, et celui du Cap qui devrait rehausser les festivités du 350e anniversaire de la deuxième ville du pays a été perturbé, notamment le lundi gras, par des protestations et des attaques armées et au gaz lacrymogène.

Mario Malivert mariomalivert@yahoo.com
Par Mario Malivert mariomalivert@yahoo.com
12 mars 2020 | Lecture : 3 min.

A part la ville de Jacmel dont les activités carnavalesques ont respecté leur calendrier et brillé de leur éclat habituel, le carnaval national qui devrait se dérouler à Port-au-Prince a carrément été annulé, et celui du Cap qui devrait rehausser les festivités du 350e anniversaire de la deuxième ville du pays a été perturbé, notamment le lundi gras, par des protestations et des attaques armées et au gaz lacrymogène. La précarité économique, l’insécurité asphyxiante, la résurgence du kidnapping, et l’incendie d’un orphelinat à Fe

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