L'ex-président bolivien Evo Morales, en exil en Argentine depuis le mois de décembre, est discrètement parti lundi matin vers Cuba pour des raisons médicales, a annoncé la presse argentine.
Le chef de l'Etat argentin de centre gauche Alberto Fernandez, qui lui a accordé la qualité de réfugié, a de son côté expliqué avoir été informé de ce déplacement.
"Il me semble qu'il suit un traitement (médical) et qu'il devait voyager. Il m'a appelé il y à quelques jours. En tant que réfugié, on ne peut pas l'empêcher