Le Nouvelliste (L.N.) : Professeur Daniele Comberiati, on vous connaît surtout dans les milieux universitaires comme un spécialiste de littérature italienne moderne et des questions postcoloniales. Comment en êtes-vous arrivé à découvrir et à travailler sur l'œuvre de Georges Castera et à travailler là-dessus?
Daniele Comberiati (D.C.) : Comme souvent, le hasard a joué un rôle important. Grâce à Michel Bastiaensen, un collègue de l'Universite Libre de Bruxelles où j'enseignais à l'époque, je suis rentré en contact