L'avocat du Premier ministre britannique Boris Johnson a soutenu mercredi, face aux juges de la Cour suprême, qu'il ne revenait pas à la justice d'intervenir dans sa décision controversée de suspendre le Parlement à l'approche du Brexit.
Au deuxième des trois jours d'audience devant la Cour suprême à Londres, l'avocat James Eadie a estimé que le Parlement avait déjà eu amplement de temps pour débattre du Brexit depuis des années.
Il a argué que si les députés avaient eu besoin de temps supplémentaire, ils avaient