Roland Léonard
Comme un verre d’eau fraîche dans la chaleur de l’été, comme un bain délicieux sous une cascade dans l’enfer de la canicule, le festival annuel de piano, en une matinée, du cours Valérie Verret Edmé, nous a fait oublier le climat étouffant et malsain, morose et déprimant, engendré par la conjoncture sociopolitique de ces derniers jours.
La fête a débuté un peu plus tôt cette année, et ce dimanche, vers les 9 heures a.m. par crainte sans doute d’une éventuelle perturbation par une «manif». L’auditoriu