Maurice Cadet, pince-sans-rire

Dans son roman de 236 pages publié par les Éditions Pulùcia, Maurice Cadet nous invite à visiter Jacmel des années 40, au temps du président Élie Lescot.

Mario Malivert  mariomalivert@yahoo.com
Par Mario Malivert mariomalivert@yahoo.com
02 avr. 2019 | Lecture : 2 min.

Dans son roman de 236 pages publié par les Éditions Pulùcia, Maurice Cadet nous invite à visiter Jacmel des années 40, au temps du président Élie Lescot. L’auteur dédie les vingt-trois premières pages de Requiem pour une soutane princière à sa ville natale, dans toutes ses facettes, de quartier en quartier, de la masse prolétarienne à la bourgeoisie, du bas de la ville au Bel-Air. Il pause un instant sur l’église de Jacmel et le presbytère pour décrire les fidèles comme un défilé de figures insolites telles que « Hyppol

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