Les Québécois utilisent couramment l’expression «plomberie» pour désigner la matrice d’un ouvrage, c’est-à-dire sa trame narrative, l’ensemble des faits (ra)contés ou relatés, les descriptions, les situations de vie, les travers, les joies et vicissitudes du ou des personnages que nous livre l’auteur. Je m’en accommode volontiers, puisque l’expression traduit, dans ma compréhension, non seulement la même réalité, mais rajoute une utile couche d’intelligibilité qui fait davantage comprendre mon propos.
J’écris dans un monde où l’on parq