Le vide qui bat son plein

George Corvington a consacré son œuvre à Port-au-Prince, tout comme Woody Allen a chanté New York dans la plupart de ses films, ou Jean-Claude Charles a célébré Manhattan dans son roman Manhattan Blues.

Mario Malivert
mariomalivert@yahoo.com
Par Mario Malivert mariomalivert@yahoo.com
14 août 2018 | Lecture : 3 min.

George Corvington a consacré son œuvre à Port-au-Prince, tout comme Woody Allen a chanté New York dans la plupart de ses films, ou Jean-Claude

Charles a célébré Manhattan dans son roman Manhattan Blues. La fascination des artistes pour une ville en particulier nous pousse à définir cette entité complexe non pas seulement en tant qu’agglomération de personnes et de structures physiques, mais aussi en tant qu’organisme qui vit, change, se meut et meurt même des fois.

Dans son recueil de poèmes Le vide, La ville paru en 2016 dans

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