George Corvington a consacré son œuvre à Port-au-Prince, tout comme Woody Allen a chanté New York dans la plupart de ses films, ou Jean-Claude
Charles a célébré Manhattan dans son roman Manhattan Blues. La fascination des artistes pour une ville en particulier nous pousse à définir cette entité complexe non pas seulement en tant qu’agglomération de personnes et de structures physiques, mais aussi en tant qu’organisme qui vit, change, se meut et meurt même des fois.
Dans son recueil de poèmes Le vide, La ville paru en 2016 dans