Cri d’alarme des femmes des policiers tués dans l’exercice de leurs fonctions

Les femmes des policiers tués dans l’exercice de leurs fonctions expriment déjà leur inquiétude pour la nouvelle rentrée scolaire et revendiquent trois mois d’allocation salariale des autorités étatiques qu’elles n’ont pas reçus depuis le mois d’avril.

Windzor Aristil
windzoraristil@yahoo.fr
Par Windzor Aristil windzoraristil@yahoo.fr
24 juil. 2018 | Lecture : 2 min.

Les femmes des policiers tués dans l’exercice de leurs fonctions expriment déjà leur inquiétude pour la nouvelle rentrée scolaire et revendiquent trois mois d’allocation salariale des autorités étatiques qu’elles n’ont pas reçus depuis le mois d’avril. Regroupées autour de l’Union nationale des familles des policiers victimes en fonction (UNAFPOVIF), ces veuves n’ont pas caché leur frustration par rapport au traitement humiliant, disent-elles, qui leur réserve l’État.

Chantal Bouquet, présidente de l’UNAFPOVIF dénonce les propos injur

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