« Ce partenariat, ayant la vertu de changer la capacité d’agir de l’INFP, arrive à un moment où la jeunesse semble animée par le désarroi, le mal-être, l’incivisme, hantée par un manque de confiance en soi », a expliqué Maguy Durcé, directrice générale de l’INFP, ajoutant que cette façon est installée chez les jeunes comme une maladie sociale alimentée par l’oisiveté, l’ignorance, la méconnaissance et la peur. Critiquant l’absence criante de structure de prise en charge, Maguy Durcé pense que l’éradication d’une telle situation n’est autre q