Luckner Garraud n’a pas toujours été ce féru de livres qu’il est maintenant. « Je dois, d’entrée de jeu, avouer que je ne suis pas un grand lecteur comme mon confrère à Métropole Georges Allen (sourire) ou tant d’autres encore. Les livres et moi, nous avons eu une histoire ‘’d’obligation’’. Tout a commencé au secondaire lorsque, pour participer au débat d’après classe, il fallait pouvoir discuter d’un livre qu’on a lu. C’est ainsi que j’ai dû prendre la route de la Bibliothèque nationale. Et depuis, les obligations se sont multipliées et cec