Avant d’être une passion, la musique est un héritage génétique pour Dickens Princivil. L’illustre compositeur compte dans son arbre généalogique un grand-père clarinettiste de la fanfare du Palais national, un père et une mère qui ont fait partie de chorales cotées de la communauté épiscopale en Haïti. Tout le reste de sa fratrie, dont il est le deuxième enfant, pratique la musique.
Il n’a pas attendu l’adolescence pour décider de ce qu’il devait faire de sa vie. Dès ses 7 ou 8 ans, une religieuse du nom de Sœur Anne-Marie, affectée à