Il est 6 heures. Familles et amis se sont réunis en face de la Fokal, dans un corridor. Sous une lumière blafarde chacun se fraye une petite place dans cet espace déjà trop petit pour supporter le poids de tous ces regards. Qui s'agrippant à un poteau, qui s'asseyant sur un mur, qui d'autres restant debout. Les plus chanceux trouvent une chaise qu'ils partagent à deux ou à trois. On parle, on murmure des choses que nous seuls pouvons comprendre. L'impatience est de mise dans ce brouhaha.
Au milieu de cette scène improvis