« J'ai rencontré AUBELIN toute jeune à la fin des années cinquante ou au début des années soixante. C'est avec lui que j'ai appris à danser la méringue et aussi à l'enseigner aux touristes qui fréquentaient la Villa Créole.
Il a fasciné mon enfance avec sa badine, sa prestance, sa « préciosité » et sa gentillesse à l'égard de tous. Il exhibait également une courtoisie débordante pour toutes les dames : il aimait beaucoup les femmes et en ce sens il s'entendait très bien avec mon père qui l'accueillait toujours à bras ouverts à l'hôtel El R