Le sénateur Steven Y. Benoît n’en finit pas de recevoir des claques. A bras raccourcis, on lui est tombé dessus depuis la signature de l’Accord d’ El Rancho. Pris dans un tourbillon de critiques, le sénateur s’est empêtré, englué, enlisé dans une défense qui ne correspond pas à l’image d’homme de dossier qu’il a projetée depuis des années. Dire qu’il n’a pas lu l’article 12 avant de signer a été léger. Insinuer que le cardinal Langlois et l’équipe de la médiation l’ont induit en erreur constitue en soi une erreur grave.
Seul contre tous, Stev