Les contours de notre paysage politique et électoral se précisent. L'épée de la tabula rasa est suspendue sur le 2e tiers du Sénat et, conséquemment, le Parlement, mais le vide institutionnel et la crise politico-électorale qui s'ensuivront risquent de tout déstabiliser, y compris la présidence.
Le débat entre le pouvoir et les dix (10) sénateurs de 2009 a confirmé que, derrière les enjeux de pouvoir et les argumentaires savants, c'est le reste du mandat de cinq (5) ans du président Michel Joseph Martelly qui est bien l'enjeu de la bataille