Le président Michel Joseph Martelly a chaussé ses bottes. La confrontation, une seconde nature chez lui, le pousse à en découdre avec ses adversaires politiques. Ceux de la Chambre des députés, neutralisés sous le poids du bloc PSP, n'ont que leurs bouches pour dénoncer leurs misères dans la presse. Ils ont essuyé des tacles irréguliers, dont le non-décaissement de fonds alloués dans les budgets des deux derniers exercices pour réaliser des projets dans leurs circonscriptions.
Pour le Sénat, Tèt Kale, selon toute vraisemblance, joue la mont