La longue transition pour la formation d'un Conseil électoral

Après plus de sept mois de tergiversations pour la formation d'un Conseil électoral devant organiser les scrutins de cette année, et à la suite de l'accord conclu entre l'exécutif et le Parlement le 24 décembre 2012 pour la mise en place de cette institution, les intérêts particuliers des uns et des autres semblent primer sur les mécanismes qui doivent nous conduire sur le chemin d'un Etat de droit.

Lemoine Bonneau
bonneau@lenouvelliste.com
Par Lemoine Bonneau bonneau@lenouvelliste.com
14 mars 2013 | Lecture : 3 min.
Après plus de sept mois de tergiversations pour la formation d'un Conseil électoral devant organiser les scrutins de cette année, et à la suite de l'accord conclu entre l'exécutif et le Parlement le 24 décembre 2012 pour la mise en place de cette institution, les intérêts particuliers des uns et des autres semblent primer sur les mécanismes qui doivent nous conduire sur le chemin d'un Etat de droit. Quand la balle n'est pas dans le camp du pouvoir exécutif, il est dans celui du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire ou dans celui du législati
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