La table de concertation de la honte

Au moment où les deux chambres du Parlement ne sont pas sur la même longueur d'onde sur la formation de la commission bicamérale paritaire, qui doit procéder à l'analyse des dossiers des postulants désireux de représenter les parlementaires au Conseil de gestion transitoire du Conseil électoral permanent, le Premier ministre Laurent Salvador Lamothe s'active à relancer la table de concertation avec les Etats-Unis, l'Union européenne et le Brésil.

Lemoine Bonneau
lbonneau@lenouvelliste.com
Par Lemoine Bonneau lbonneau@lenouvelliste.com
04 févr. 2013 | Lecture : 3 min.
Au moment où les deux chambres du Parlement ne sont pas sur la même longueur d'onde sur la formation de la commission bicamérale paritaire, qui doit procéder à l'analyse des dossiers des postulants désireux de représenter les parlementaires au Conseil de gestion transitoire du Conseil électoral permanent, le Premier ministre Laurent Salvador Lamothe s'active à relancer la table de concertation avec les Etats-Unis, l'Union européenne et le Brésil. Ces trois bailleurs, dont les uns plus exigeants que les autres, doivent délier les cordons de leu
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