Les caïds ne sont pas des étrangers dans le monde du spectacle. Ici, ils sont des « boss », des « parrains ». Des groupes musicaux leur restituent cette « bienveillance ». Dans des bals, parfois en échange de liasses de billets verts, on scande leurs noms quand ils ne sont pas immortalisés par des chansons à succès. Quand ces truands tombent dans les filets de la police, de la DEA, se suicident…, cela défraie la chronique p