Quand le chancelier Casimir prend fait et cause pour l'Onu

 Deux ans après l’apparition des premiers cas de choléra  en Haïti, particulièrement dans la  commune de Mirebalais avant de se propager dans les différentes agglomérations que  baigne le fleuve Artibonite pour s’étendre dans tous les départements du pays, le ministre des Affaires étrangères et des Cultes, Pierre-Richard Casimir,  écarte toute possibilité d’intenter une action contre les Nations unies  aux fins de dédommager les parents  des 7 000 victimes de cette maladie.

Lemoine Bonneau
lbonneau@lenouvelliste.com
Par Lemoine Bonneau lbonneau@lenouvelliste.com
24 oct. 2012 | Lecture : 3 min.

 Deux ans après l’apparition des premiers cas de choléra  en Haïti, particulièrement dans la  commune de Mirebalais avant de se propager dans les différentes agglomérations que  baigne le fleuve Artibonite pour s’étendre dans tous les départements du pays, le ministre des Affaires étrangères et des Cultes, Pierre-Richard Casimir,  écarte toute possibilité d’intenter une action contre les Nations unies  aux fins de

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