La Banque populaire haïtienne (BPH), veine ouverte du Trésor public…

La mise en place le 2 août 2016 par le ministre de l’Économie et des Finances, Yves Romain Bastien, d’une commission de restructuration et de contrôle à la Banque populaire haïtienne (BPH) ne laissait planer aucun doute sur la détérioration de la situation de cette institution financière.

Roberson Alphonse
Par Roberson Alphonse
17 févr. 2017 | Lecture : 4 min.
La mise en place le 2 août 2016 par le ministre de l’Économie et des Finances, Yves Romain Bastien, d’une commission de restructuration et de contrôle à la Banque populaire haïtienne (BPH) ne laissait planer aucun doute sur la détérioration de la situation de cette institution financière. À mots feutrés, on parlait de faillite provoquée par la mauvaise gestion de cette banque, connue pour son incapacité à respecter les normes vis-à-vis de clients disposant de solides accointances politiques. Le journal, entre-temps, a appris cette semaine
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