Gilbert Benoît, 60 ans, frappe à toutes les portes, conte le « drame de sa famille », sa longue lutte pour préserver l’intégrité d’un terrain acquis par ses ancêtres depuis 1892. Les années ont passé, les adversités se sont multipliées pour les héritiers de son père, Paul Benoît, mais jamais, a-t-il concédé, les accapareurs de terre n’ont été aussi puissants. Ils ont le support de gens haut placés dans la police et la justice.
Les assauts se sont multipliés sur les lieux, un terrain qui abrite des lotissements connu sous le nom de Les Palme