Frantz Duval : Puisque vous parlez des téléphones, aujourd'hui selon la constatation, on peut dire il y a quelques années de cela, les Haïtiens avaient trouvé de l'argent pour mettre dans les coopératives et aujourd'hui tout le monde trouve de l'argent pour acheter un téléphone. C'est le crédit qui finance, c'est une épargne cachée. Comment la banque analyse tout ça ?
P.M. Boisson : Nous avons été comme tout le monde frappé par la vigueur de la demande pour les téléphones. C'est extraordinaire. Nous ne pouvons pas dire que nous avons prédi