A Biran, village natal de Fidel Castro, "personne ne s'attendait" à ce que ce jeune étudiant, rebelle et amoureux de la nature, quitte le confort de la propriété familiale pour faire sa révolution en 1959, raconte son demi-frère Martin.
"Il parlait peu (de ses projets) de crainte que le vieux ne puisse l'apprendre", explique à l'AFP, assis dans un fauteuil à bascule, Martin Castro Batista, 77 ans, lui aussi fils du "vieil" Angel mais de mère différente.
Niché au milieu des collines et des plantations de canne à sucre, à 800 kilomètres de