À 5h p.m., la salle UNESCO de FOKAL, clairsemée, ne présageait pas une si bonne soirée. 5 minutes plus tard, le standard annonça quelques minutes de retard. Il fallait attendre des retardataires. Une circulation dense sur Port-au-Prince ce jour-là en est la cause. Une vingtaine de minutes plus tard, tout est prêt pour lancer le festival. La salle se remplit, les chuchotements et les salutations montent en degré, quand le consul espagnol, Sergio Cuesta, demande la parole. Effectivement, le public n’attendait que ce moment. Le consul, dans un br