« S’il est possible de croire en des terres aimantes, en des lieux sans conflits, l’amour est cet espace vierge encore. Innocent. De l’enfance. De l’art. Le mouvement n’est-il pas d’amour pour le corps ? Le bruit n’est-il pas d’amour pour la musique, les ondes ? Le mot n’est-il pas d’amour pour l’imaginaire ? » Autant de questions auxquelles on a tenté de répondre, le vendredi 21 octobre, sur la terrasse de l’IFH, à l’exigence du thème de ce 13e festival.
Axé sur les affinités de l’île, questionnant « la problématique des conflits transfron