En Haïti, il est rare que les auteurs de la traite des personnes et les utilisateurs finaux de ce type d’exploitation soient identifiés et traduits en justice. L’application laxiste de la loi est à l’origine de cette situation, à en croire Mme Norah A. Jean François, juge à la cour d’appel de Port-au-Prince. Pour remédier à cette situation, un atelier de formation sur la traite des personnes a été organisé les 20 et 21 septembre, à l’hôtel Oasis, par l’Association internationale des femmes juges (CHAIFEJ), en collaboration avec OIM et IAWJ.