Jacques Attali a écrit une cinquantaine d’ouvrages. Je retrouve dans ma bibliothèque les restes – puisque dévoré en partie par les thermites – de l’ouvrage «Les trois mondes», Fayard, 1981. Attali, comme Alain Minc, ce n’est pas du petit lait. C’est pointu, savant. Curieusement, de tous ses titres, si j’excepte «Au propre et au figuré», Éditions Fayard, 1988, ma préférence va à «Siegmund Warburg, un homme d’influence», Fayard, 1985.
Je retrouve un papier incomplet que j’avais consacré à la biographie de ce banquier allemand à la sortie de l