Le père, le fils et...les simples d’esprit

Si le football haïtien doit son évolution à la gestion d’une sainte famille légitimement élue tous les quatre ans, il est loin de sortir de l’auberge des rendez-vous manqués.

Raphael Féquière
Par Raphael Féquière
09 sept. 2016 | Lecture : 1 min.
Si le football haïtien doit son évolution à la gestion d’une sainte famille légitimement élue tous les quatre ans, il est loin de sortir de l’auberge des rendez-vous manqués. Pour briser le cercle vicieux des solutions toutes faites, des vieux clichés du défaitisme, de l’assistanat permanent et de la sébile tendue, des saints d’esprit doivent nécessairement emboîter le pas, entrer dans la danse au niveau des clubs d’où sort inévitablement l’essence du football national. Au haut de la pyramide, la compétence ne sert à rien si elle ne marche p
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