Cliford Jasmin de Ayitidanse confronté aux travailleurs de la presse ne joue pas au bobo fier, discret sur les difficultés économiques. "Quel est le budget de votre festival ?" Il répond sans user de mots recherchés que son festival n’est possible que par des échanges de services. « S’il fallait payer Decameron, diffuser les publicités dans les médias, faire venir des danseurs professionnels étrangers et haïtiens, il faudrait des et des milliers de dollars, un luxe inaccessible pour nous autres qui n’avons pas de mécènes », avoue-t-il comme un