À la résidence d’une ambassade

Une très jeune fille qui me prend pour Gary Victor et me reproche amicalement d’avoir peuplé son enfance de cauchemars.

Antoine Lyonel Trouillot
Par Antoine Lyonel Trouillot
26 juil. 2016 | Lecture : 2 min.
Une très jeune fille qui me prend pour Gary Victor et me reproche amicalement d’avoir peuplé son enfance de cauchemars. Je ne veux pas la corriger et ajouter à ses cauchemars de parler au mauvais auteur. Quelques personnes qui me font venir en mémoire le mot d’un vieil académicien, humoriste génial, pour saluer ceux qui sont toujours visibles, devant, expressifs, « nmanquables » : « Toujours aussi évident, mon ami ! ». Un bavard qui sait tout sur l’amour et le couple. Heureux soit-il. Un chassé-croisé de conversations. Sur les attentats
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