Par Leslie Péan, 25 juillet 2016
Six ans après le traumatisme du tremblement de terre, les Haïtiens semblent avoir fini par comprendre que, pour sortir des affres qui jalonnent leur quotidien, ils doivent prendre les devants et agir vite. Cela demande de remettre les pendules à l’heure. Pour éviter coûte que coûte l’imposition d’un candidat se réclamant du « banditisme légal » comme vainqueur aux prochaines élections présidentielles du 9 octobre 2016, les Haïtiens n’ont d’autre choix que d’emprunter la seule voie qui correspond à la souvera