« Tout passe et finit, seul le souvenir demeure à perpétuité »
Regnor C. Bernard, poète haïtien de l’École Indigéniste
L’été flambant règne dans toute sa splendeur. Il resplendit sous un ciel lumineux et pur. Cette situation incite à l’allégresse et au ravissement. Paradoxalement, en ce mois de juillet gai et pimpant, c’est avec le cœur endolori et une tristesse mouillée de larmes que je pense à la date du 28 juillet, jour dont tous les Haïtiens doivent se souvenir. Il me remonte alors à la surface de la mémoire ces paroles célèbres