La Police nationale d’Haïti, la Minustah et toutes les instances impliquées dans la sécurité dans le pays sont prises entre deux feux, ces derniers temps.
D’un côté, les statistiques officielles disent que le nombre de morts violentes a baissé d’une année à l’autre pour les mêmes mois en Haïti, de l’autre, le ressenti de la population de la région métropolitaine laisse croire le contraire à chaque fois que l’on apprend de nouvelles morts par balle.
Si certains mettent en question les statistiques officielles qui depuis trois ans ne recense