Des spectateurs, plantés devant leur petit écran, ont relevé quelques incivilités, des lacunes de français et surtout l’âpreté des négociations entre les pro et les anti-Privert. Les anti-Privert, a en croire le sénateur Jean-Baptiste Bien-Aimé, ont les dents longues. Ils veulent plus, de grosses parts dans le gâteau du pouvoir. Au moins quatre ministères, après-ceux déjà dans leur escarcelle, des directions générales. « La première chose qu’ils ont demandée est le replâtrage du cabinet ministériel », a fulminé le sénateur Jean-Baptiste Bien-Ai