Dans la nuit du 23 au 24 juin, dans la moiteur tropicale d'une ville endormie, retentissement soudain d'armes lourdes.
Nuit d'été où les ombres des deux sexes mêlés, plaisirs variés où s'expriment sociabilité populaire et bourgeoise.
Des apprentis terroristes, ou des truands somnambules attaquent des investissements privés .
Les tours Digicel et Marriott, symboles puissants d'une Haïti tournée vers l'avenir, montraient, dès l'aube, les stigmates d'une nuit trop chaude.
Ce n'est pas nécessairement le soleil qui brûle !
Port-au-Prince é