« Le canal est notre passé et notre avenir! C'est la grande idée d'un petit pays de moins de 4 millions d'habitants », s’exclame Roberto Roy, de l'Autorité du canal de Panama (ACP) et membre du gouvernement. Eyda Varela de Chinchilla, vice-ministre des Finances, compte sur les recettes annuelles reversées par l'ACP, qui devraient passer d'un milliard de dollars cette année à 1,6 milliard l'an prochain pour boucler son budget.
Considéré à juste titre comme le « pétrole » du Panama, le modèle d'exploitation du canal du XXIe siècle a aidé le p